« Et nous tous, qui sommes ici, savons que ceci est le jardin des vérités, comme nous savons que rien n’est plus vrai que les secrets les mieux gardés. »
Les huit tableaux-poèmes d’Ibticem Mostfa finissent ainsi, mais ce pourrait être le début de cet ouvrage, tant les chemins sont libres pour s’enfermer en ses Labyrinthes.
Nous aimerons nous y perdre et nous suivrons les fils d’Ariane tissés sur les toiles d’Ibticem, enchevêtrement d’enfance et de cultures, canevas calligraphié, chemins enluminés.
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